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Les suivis environnementaux
Face aux différentes pressions que subit notre environnement, il est nécessaire de mettre en place des réseaux de suivi. Ces réseaux doivent permettre de connaître l’évolution de la qualité de l’environnement. Pour fonctionner, un réseau de suivi s’appuie sur un ensemble de points d’observation. Souvent, ces points sont appelés des stations. Lorsque l’on veut suivre la qualité de l’eau dans une rivière, par exemple, on place un certain nombre de stations tout au long de la rivière. Sur chacune des stations, on mesure des paramètres : l’acidité ou la température de l’eau par exemple. On vérifie la fiabilité des données récoltées puis, on les enregistre et on les traite. On peut par exemple les représenter sous la forme de graphique d’évolution ou de cartes. Il est alors possible de confronter les données les unes aux autres, dans le temps ou dans l’espace. En comparant les données dans le temps, on pourra identifier des tendances d’évolution. En comparant les données dans l’espace, on pourra détecter des différences en |
fonction de la localisation des stations par rapport à la source de la pollution. On peut aussi comparer les données à des normes de qualité. En général, on effectue ce travail à partir de plusieurs paramètres récoltés sur le terrain. Pour chacun d’entre eux, on doit pouvoir déterminer un niveau de qualité (bon, moyen, mauvais, par exemple). Chaque paramètre est alors appelé indicateur . En compilant tous les indicateurs, on en déduit alors un niveau de qualité pour la zone suivie. Il existe plusieurs réseaux de suivi en province Sud. |