Après avoir caractérisé physiquement et biologiquement l'îlot Leprédour et en ayant mis en perspective leurs évolutions historiques, des éléments ont été mis en place pour évaluer la capacité de régénération spontanée du couvert végétal et de l'impact du Lapin et du cerf rusa. Il s'avère que l'introduction de ces espèces fragilise le système écologique insulaire car il n'y a pas, comme sur les continents, de forces sélectives. Il a donc été envisager d'éradiquer, par capture, les Cerfs rusa et les Lapins. Ceci constitue en même temps une 1ère expérience.