Ce réseau, mis en place en 2011, permettra, à plus long terme, de déterminer la distribution spatiale et temporelle des populations microbiennes ciguatoxiques ainsi que la concentration en toxines ciguatériques dans les populations de poissons sentinelles.
Aujourd'hui, il n’existe aucune contrainte réglementaire du suivi de la ciguatéra pour l’exploitant minier Vale Nouvelle-Calédonie. Ainsi, le conseil scientifique de l’OEIL a choisi de financer la surveillance des populations de dinoflagellés et de cyanobactéries afin d’anticiper le risque ciguatérique.
Le réseau de suivi actuel comporte 14 stations :
- 9 d'entre elles ont déjà fait l'objet d'un suivi (programme ciguatérique 2005-2010)
- 3 d'entre elles ont également fait l'objet d'un suivi (2007-2010)
- 2 nouvelles stations ont été définies.
Une équipe de 2 à 3 plongeurs a été missionnée pour des sorties mensuelles (soit 12 jours par année).