En l’absence de lignes directrices, les modalités de gestion des données récifales sont aujourd’hui laissées à la discrétion des commanditaires de suivis et collecteurs de données. Ainsi, la pérennisation des données récifales n’est pas toujours garantie, leur accès est rendu complexe et l’hétérogénéité des formats de données limite leur exploitabilité. Tout ceci compromet donc les possibilités de mutualiser les connaissances à des fins de gestion. En 2022, l’OEIL et l’ANCB (anciennement CEN) se sont associés pour animer une réflexion collective concernant la bancarisation des données des suivis récifaux à l’échelle du pays en traitant en priorité le cas des données produites par le RORC.